Ils nous ont quittés mais nous ne les oublierons pas...


Chipie (5)

 

Chipie nous a quittés peu de temps après Voltaire. Elle était également accueillie par Sophie.

 

« Ma petite Mamie Chipie...

 

Ton arrivée à la maison en juillet 2022 a été compliquée… Effrayée, tu t’es cachée pendant de longues semaines. Tellement bien qu’on ne se serait jamais douté qu’il y avait un chat dans la pièce.

 

Et puis, le temps passant, j’ai commencé à voir ton petit minois : tu m’observais en pensant que je ne te voyais pas !

 

Le temps a passé, tu as fini par te montrer. Puis à te laisser caresser et enfin m’honorer de ta présence. Petite minette que tu étais, tout petit gabarit, toute légère et toute discrète, mais bien présente et appréciant beaucoup les caresses.

 

Tu n’avais jamais été bien grosse, mais tu t’es mise à dépérir… Chez le vétérinaire, le verdict est tombé : Chez le vétérinaire, le verdict est tombé : dégradation brutale de ton état de santé à cause du cancer, non détecté, dont tu souffrais. Il n’y avait aucun espoir de te sauver. Nous avons alors pris la décision de t’aider à t’envoler sereinement.

 

Ma seule consolation est de t’avoir accompagnée jusqu’à ton départ : je te caressais, tu ronronnais, et tu t’es endormie la tête sur ma main droite pendant que l’autre main continuait de te caresser.

 

Tu m’as quittée 3 jours après Voltaire ma petite Mamie Chipie, et comme lui, tu as emporté un petit bout de mon cœur. Vous me manquez déjà tellement ! »


Balin n'a pas pu être sauvé...

 

Repéré au centre ville, traversant la route, désorienté, épuisé, Balin a été mis à l’abri par madame L.B.

 

Hélas, l’intervention de sa bonne fée n’a pas suffi à le sauver.

 

C’était chat adorable qui ne pesait que plus 2,7 kg lorsque nous l’avons pris en charge. Il n'était ni castré, ni identifié.

 

Son bilan sanguin s’est révélé catastrophique : il était complètement anémié et nous n’avons pas eu d’autre choix que de l’endormir.

 

Une décision difficile à prendre, car nous pensions vraiment pouvoir lui donner une seconde chance.

 

Après avoir profité des caresses de madame L.B., il avait rejoint Chloé, sa famille d’accueil, qui lui dédie ses quelques mots :

 

"Mon cher Balin, tu es passé chez moi aussi vite qu'une étoile filante.

 

Quand je t'ai vu, je me suis dit : "encore un chat qu'on a simplement regardé et laissé là", sous prétexte qu’un chat, "ça se débrouille très bien tout seul dehors" - eh oui, c’est ce qu’on entend souvent ! - et j'ai alors pensé : "voilà le résultat".

 

C'est toi qui paies le prix de cette indifférence. Ton état ne laissait aucun doute, tu n’allais pas bien, et pourtant, tu es resté longtemps dehors avant qu’une personne au grand coeur te ramasse enfin.

 

J'aurais tellement aimé pouvoir te requinquer, dans l'amour et la tendresse d’une famille aimante. Tu le méritais !

 

Nous avons dû te forcer à prendre un repos d'où tu ne reviendras pas, mais dans ce malheur, ton urne sera gardée bien au chaud chez la personne qui t'a trouvé dehors, pour que tu n’y retournes pas une fois encore... dans l'indifférence..."

 

Victime d’un abandon, Balin a épuisé toutes tes forces à tenter de survivre dehors. Il n'avait que 5 ans.Ses cendres reposeront auprès de madame L.B., très affectée par ce sauvetage sans issue.

 

Seule consolation à cette triste et révoltante histoire d'abandon : il n’aura pas souffert davantage, ni agonisé seul dehors, comme beaucoup de ses congénères, qui meurent en toute "discrétion", loin des regards.

 

Ronron (Oréo)

 

L’adorable Oréo, dit Ronron, qui était hospitalisé pour un oedème pulmonaire aigu, a succombé à une péritonite infectieuse féline. Il était jeune, 3 ans seulement…

 

C’est un coup dur, en particulier pour Clotilde, sa famille d'accueil, qui a déjà dû dire adieu à deux nombreux chats à la santé fragile ou âgés.

 

Elle lui dédie ces quelques mots, douloureux à écrire :

 

"Oréo, ta marraine de cœur, Aurélie, t’avait repéré, errant sur Bellevue, glanant de la nourriture où tu pouvais… Très discret, tu avais disparu du quartier durant quelques mois et nous en avions conclu que tu avais retrouvé ton foyer.

 

Hélas, tu es réapparu un jour, amaigri et plus effarouché encore par les humains. Tu as cependant accepté de rejoindre enfin notre grande famille, au mois de juillet dernier.

 

Je t’appelais Ronron, car tu ronronnais dès que nos regards se croisaient. Tu as vite apprécié le confort d’un panier, les repas quotidiens, les brossages, les soins, les séances de câlins qui n’en finissaient pas.

 

Toujours près de moi dans chaque pièce de la maison, tu avais réussi à te faire une petite place dans le lit, où tu venais te lover dans mon cou. Une bouillotte de 5 kg et une boîte à ronrons, qui me manquent à présent terriblement.

 

Malgré notre relation fusionnelle, je t’ai proposé à l’adoption, te souhaitant de trouver une belle famille, qui t’accepte comme tu étais, avec parfois des réactions imprévisibles lorsque tu n’étais pas d’accord.

 

Tu étais un beau matou roux, un ronronneur fou, et ton doux regard me témoignait une infinie reconnaissance.

 

La vie est parfois si injuste, mon gentil Ronron. J’étais tellement heureuse que tu sois enfin à l’abri. Je ne me doutais pas que tu ne connaîtrais que quelques mois de bonheur.

 

En ce mois d’octobre, une péritonite infectieuse féline t’a emporté, ne te laissant aucune chance. C’est une maladie sournoise, insidieuse… Je suis très affectée par ce décès brutal, qui laisse un grand vide dans mon coeur, car tu es parti beaucoup trop jeune. C’est révoltant et difficile à accepter.

 

Dans les derniers moments, alors que tu étais très faible, tu avais encore la force de te frotter contre mon visage. Mon courageux petit Ronron… A présent, il ne me reste que ces souvenirs de quelques mois passés ensemble.

 

Je remercie Aurélie et Fatima (sans elles, tu serais resté dehors, où tu aurais agonisé) et Brigitte, qui a soulagé ton inconfort et ta douleur face à cette terrible maladie.

 

Repose en paix auprès de tes compagnons, Ronron. Tu resteras dans mon cœur, comme chacun d’entre eux vous."

 

Clotilde

 

Papouille

 

Ce chat malmené par la vie nous a quittés en octobre 2022, après avoir passé trois ans chez Sophie.

 

Nous l’avions pris en charge à la suite du SOS d'une personne âgée de la Trinité (il avait trouvé refuge dans son jardin, après avoir erré, affamé, amaigri et blessé à la patte). Dans sa famille d'accueil, il était enfin à l'abri, mais sa santé s'est dégradée.

 

Sophie, qui était très attachée à lui, lui rend hommage :

 

"Mon Pouille est parti ce jeudi matin très tôt… beaucoup trop tôt… laissant un vide immense.

 

Mon Pouille, je t’ai récupéré il y a presque 3 ans chez une autre FA qui avait peur de te garder car elle te pensait en fin de vie… Pourtant jeune, d’après les vétos, puisque ta date de naissance était estimée en 2017, la vie t’avait tellement abîmé que tu ressemblais déjà à un vieux chat.

 

Tu étais un chat génial, un grand amateur de caresses qui aimait autant barouder à l’extérieur que profiter du confort de la maison.

 

Hyper zen, tu pouvais cohabiter avec chiens, chats, poules, canards et moutons sans problème. Mais tu étais aussi un grand chasseur et un « serial killer de rats ».

Tu me suivais dans le jardin, réclamant une caresse avec un petit miaulement attendrissant. A la maison, tu me donnais de grands coups de tête pour réclamer des câlins.

 

Malgré tes problèmes de santé constants, on a réussi à maintenir un équilibre fragile pendant plus de 2 ans et demi. Tu te laissais soigner avec beaucoup de patience.

 

Les choses se sont emballées il y a quelques mois et les prises en charges vétérinaires se sont multipliées, de nombreux traitements ont été mis en place. Le dernier traitement semblait fonctionner, tu allais mieux. Tu t’es battu si courageusement et si longtemps que j’y croyais vraiment !

 

Malgré tout ça, je t’ai trouvé très fatigué mercredi soir. Tu t’es éteint au petit matin et j’ai retrouvé ton corps sans vie à mon réveil, avec l’ultime regret et le grand chagrin de n’avoir pas pu t’accompagner jusqu’au bout.

Une étoile de plus brille dans le ciel maintenant.

 

La vie a été moche avec toi, mon Pouille. J’espère avoir pu t’apporter quelques petites années de bonheur. Tu resteras toujours dans mon cœur."

 

Cosette

 

Notre jolie Cosette nous a quittés en septembre 2022, plongeant Eliane, sa famille d’accueil, dans une profonde tristesse. Nous lui avions confié Cosette dans le cadre de notre action contre l'isolement. Clotilde, qui connaît bien cette gentille dame de 89 ans, rend hommage à sa protégée.

 

"Petite Cosette… Victime d’un abandon, tu as été recueillie dans un jardin avec un cancer de la peau aux oreilles, que nous avons fait soigner. L’ablation de tes deux oreilles te donnait un petit charme.

 

Placée dans deux familles d’accueil qui n’ont pas eu la fibre avec toi, tu avais enfin trouvé la sérénité auprès d’Eliane, ta famille de Cœur, que tu as comblée de bonheur pendant cinq belles années, en tenant éloignée sa solitude.  

 

Eliane a su t’aimer, c’est pourquoi nous avions décidé de te placer définitivement auprès de cette gentille personne de 89 ans. Vous étiez fusionnelles, partageant une existence sereine.

 

Hélas, le 12 septembre, tu as été victime d’une thrombose aortique qui ne t’a laissé aucune chance. Tu as été endormie, accompagnée d’Eliane pour ton Grand Voyage.

 

12 ans, ce n’est pas très vieux pour un chat : tu es partie trop vite, laissant un vide immense dans le cœur d’Eliane, qui t’a choyée comme une princesse. 

 

Au revoir jolie Cosette."

 

Menhir

 

Trouvé errant la semaine dernière, ce petit coeur était épuisé, amaigri et trop affaibli. Ses reins ont lâché.

Nous avons donc pris la décision d'abréger ses souffrances.

 

Combien de temps a-t-il erré dans cet état ? Combien de regards a-t-il croisés, avant d’être enfin ramassé ?

Il était sociable et recherchait l’humain.

 

Ses miaulements de détresse, à la clinique, hanteront sûrement Gerlane, qui a croisé son chemin, alors qu’elle se promenait par là.

Nous la remercions de lui avoir porté secours, de l’avoir accueilli chez elle et accompagné jusqu’au bout.

 

Parce que nous les aimons tous - les plus sauvages, les plus amochés ou les fragiles chatons - nous ne t’oublierons pas, Menhir.

 

 

 

Bretzel 

 

Bretzel était jeune . Son décès prématuré, le 5 août 2022, suite à un accident d’anesthésie, nous attriste beaucoup.

 

A son arrivée dans sa nouvelle famille d’accueil, notre jolie roussette avait été perturbée par l’accueil quelque peu bruyant des chiens de la maison. Sophie l’avait donc laissée se poser au calme dans une chambre, où elle avait pris ses marques au fil des semaines, bénéficiant de la visite des autres chats de la famille.

 

Petit à petit, elle s’est détendue, communiquant volontiers avec sa FA. Elle ne miaulait pas : elle avait une façon particulière de roucouler, qui la rendait irrésistiblement attachante !

 

Une fois bien détendue et enfin prête pour son parcours vétérinaire, sa FA a pris rendez-vous pour la faire stériliser, identifier et vacciner.

L’intervention a eu lieu le 5 août et s’est bien déroulée. Puis, pour une raison inexpliquée, le réveil s’est mal passé et notre petite Bretzel n‘a pas survécu à son anesthésie.

 

Bien que ce type d’accidents soient rares, ils se produisent parfois, nous le savons, mais c’est un déchirement pour nous que ce soit arrivé à notre petite roucouleuse. C'était une chatte adorable, a priori en bonne santé, qui laisse un grand vide chez Sophie et un sentiment de frustration immense...

 

Kiki

 

Kiki était une petite mère tranquille qui aimait son confort et le calme.

Elle a passé quelques années en panier retraite, sous la protection de l'association, et faisait le bonheur de sa famille d'accueil. 

Elle formait également un duo inséparable avec sa maman Maou, avant le décès de celle-ci le 2 juillet 2019.

Les voilà aujourd'hui réunies...

 

 


Api

 

Dans la nuit 29 juin 2022, Api nous a quittés. 

 

Hospitalisée en urgence pour un abcès dentaire, elle n'a pas remonté la pente...

 

Clotilde, qui n'a pas été épargnée ces derniers mois, lui rend hommage avec tendresse et beaucoup de chagrin.

 

"Api, tu es arrivée à la maison à l’âge de 13 ans, lorsque ta première maman a dû partir en maison de retraite. Ces moments ont été très traumatisants pour toi et tu as été très courageuse.

 

Ta maman est partie en urgence à l’hôpital et n’est jamais rentrée à la maison pour te dire au revoir ; tu es restée seule dans l’appartement. Te récupérer a donc été un moment très délicat, tu ne voulais pas que je t’approche.

 

Complètement perdue au départ, il a fallu quelques semaines pour que nous puissions tisser un lien de confiance et que tu trouves ta place chez nous, car tu vivais seule avec ta maman. 

 

Tu as su trouver ta place parmi tes congénères : tu faisais partie des seniors et tu étais respectée.

Petite mamie tranquille, avec parfois un caractère de vieille acariâtre, tu étais très attachante et jamais loin de moi. Tu as été une compagne paisible, appréciant ton panier, les séances de brossage, les bisous sur la truffe, les siestes au soleil et tes menus particuliers. Car tu étais très gourmande ! Tu aimais manger en duo avec notre regretté Désiré.

 

Tu t’es endormie le 27 juin à la maison, sans souffrance, épuisée après 18 ans d’une belle existence. Tu laisses un grand vide dans la maison et tu reposes à présent auprès de GeorgesBrennusWallouArsèneDésiré, MamounePralineDewey et tant d’autres compagnons. 

 

J’aurais tant voulu que tu restes près de nous mais ton cœur était fatigué et à présent ton souvenir restera gravé dans mon cœur, Apilili.

 

Au revoir Api, adorable chatte blanche aux yeux très expressifs.

Ton absence est une nouvelle épreuve mais tu auras croisé notre chemin pour vivre une retraite bien méritée et ton étoile filante apparaitra bientôt dans le ciel."

 

Ebène

 

La petite perle noire nous a quittés le 29 juin 2022.

 

Sophie, sa famille d'accueil, lui dédie ces quelques mots.

 

"Petite perle noire, tout juste sortie de la rue, tu es arrivée à la maison en mars 2021, toute petite, toute fragile et aussi toute sauvage.

 

Comme à tous les autres, je t’ai laissé le temps de t’adapter, de prendre tes marques, sans te brusquer, te laissant aller à ton rythme. 

 

 

Dans la majorité des cas, les liens se créent, la confiance s’installe et des relations se nouent, mais toi, ma princesse, sans doute née d’une maman sauvage, tu ne m’as jamais accordé ta confiance. J'avais le droit de te regarder, mais pas de te toucher... Dès que je m’approchais trop, tu fuyais…

 

Ça me désolait, mais j’aime penser que tu as quand même trouvé à la maison des moments de sérénité si ce n’est de bonheur. 

Lorsque que je n’étais pas dans ma chambre, je te voyais couchée sur mon lit, en compagnie d’autres matous de la maison ; au moins, tu étais en sécurité, au chaud, et tu avais à manger et le réconfort de tes congénères ; tu n’as d’ailleurs jamais cherché à sortir.

 

Et puis un jour, ta santé s’est dégradée. Affaiblie et amaigrie, tu t’es enfin laissée attraper et j’ai pu t’emmener chez le vétérinaire. Celui-ci a dû t’anesthésier pour t’examiner : tu souffrais d’une très grosse anémie, mais comment soigner une minette qu’on ne peut pas toucher ? Le pronostic était assez sombre…

 

Tu as eu quelques injections pour te requinquer un peu et tu es rentrée à la maison. J'espérais quand même un miracle.

 

Tu as tenu quelques semaines ma princesse, plus furtive et méfiante que jamais, m’en voulant visiblement de t’avoir attrapée pour t’emmener en  consultation. 

 

J’ai essayé de faire au mieux pour toi, mais je n’ai pas su ou pu te sauver.

Tu es partie aussi discrètement que tu avais vécu.

Un matin, j’ai retrouvé ton petit corps sans vie. 

 

Je pleure en écrivant ses lignes.

Repose en paix mon petit elfe."

 

 

Il n'a pas pu être sauvé...

 

Repose en paix Petitchat

 

Nous sommes arrivés trop tard pour Petitchat, trouvé à bout de forces et très abîmé route de la Corniche à Brest. 

 

Il a puisé dans ses dernières forces pour demander de l'aide à une jeune femme qui passait par là et qui nous a contactés.

 

L'une de nos bénévoles l'a conduit dans une clinique vétérinaire mais il n'a pas été possible de le sauver.

 

Il présentait une fracture du bassin et ses analyses de sang ont révélé que ses reins ne fonctionnaient quasiment plus.

 

Il lui restait au maximum trois semaines à vivre.

 

La décision de l'euthanasier a donc été prise...

 

 

 

Cooper

 

Notre cher et magnifique Cooper nous a malheureusement quittés. 

 

Il était en famille d'accueil de longue durée chez Clovis, qui lui rend un vibrant hommage.

 

"Victime d’un abandon, les débuts avec Cooper ont été compliqués.

Très peureux, il s’est en effet, dès son arrivée chez nous, réfugié dans un faux plafond pour n’en sortir que sept jours plus tard. 

 

 

Malgré les tentatives de l’appâter, il n’en sortait que la nuit, certain que nous étions endormis, pour chercher de quoi manger. Il a fallu le rassurer, et ayant fini par quitter son plafond, il s'est très rapidement fait à sa nouvelle maison et surtout aux câlins.

 

Cooper est alors devenu un membre à part entière du foyer. Nous étions réveillés au son de ses miaulements le matin lorsqu’il avait faim, et, adepte de câlins, il nous suivait partout où nous allions pour être sûr de ne pas en perdre une miette. Il venait à table avec nous le midi et se glissait sous la couette le soir. 

 

Très doux et amoureux des caresses, il faisait notre bonheur et celui des adeptes de chats qui nous rendaient visite. 

 

Nous avons vécu deux années de pur bonheur à ses côtés.

 

Mais atteint du FIV et de la leucose, ses symptômes se sont déclenchés en avril dernier et malgré tous les efforts de l’équipe vétérinaire de la clinique des Capucines, qui a fait preuve d’énormément de compassion, la chute fut fulgurante. 

 

Néanmoins, Cooper est resté digne face à la maladie et nous avons fait de notre mieux pour qu’il souffre le moins possible. 

Il s’en est allé en douceur en mai dernier, un mois après que ses symptômes se soient déclenchés mais son souvenir résidera toujours avec nous."

 

Clovis

 

 

Rimbaud lors de sa prise en charge

Rimbaud  

 

Signalé errant à Brest dans le quartier de Recouvrance par plusieurs résidents, ce petit chat a été récupéré en grande détresse, dénutri, affaibli, fin juillet 2020. Il traînait certainement dehors depuis de nombreux mois. 

 

Testé positif au FIV, c'était un chat très marqué par sa vie d'errance, dont l'état de santé nécessitait un suivi médical très régulier.  

 

Aussi roux qu'un renard lors de sa prise en charge, en raison de carences, Rimbaud était redevenu un magnifique chat gris au poil mi-long.

 

Après avoir été accueilli par Camille puis par Clotilde, qui ont pris grand soin de lui et lui ont permis de redevenir le beau chat gris qu'il était, il avait rejoint Mickaël, chez qui il s'était bien acclimaté.

 

Il mangeait bien et faisait des progrès encourageants, même s'il restait fragile et difficile à approcher.

 

Il appréciait tout particulièrement le petit cocon que Mickaël aménageait sur son lit le matin, avec une couverture polaire, sous laquelle il s'engouffrait.

 

 

 


« Mon petit Bibou,

 

Le fameux poète dont tu portais le nom a autrefois écrit “L'amour est à réinventer” et c'est ce que chaque personne dont tu as croisé la route a fait.

 

Ta vie d'errance ne t'a pas épargné. De la rousseur d'un renard, tu t'es métamorphosé, grâce aux soins et tout l'amour que t'ont porté Camille, Clotilde et Brigitte, en ce magnifique chat gris au poil long.

 

Certes, tu n'étais pas facile à approcher, mais tous ces moments d'échanges avec toi, je les percevais comme des cadeaux. Tu nous accordais ta confiance d'une manière si spéciale et touchante.

 

Chaque matin, tu t'engouffrais sous ta couverture polaire pour t'y prélasser pendant des heures. Dès la fenêtre ouverte, tu te précipitais pour profiter des rayons du soleil. Tu aimais particulièrement le petit en-cas ludique et sportif de l'après-midi, pendant lequel tu gambadais après quelques croquettes.

Mais surtout, ton moment préféré était celui au cours duquel je partais me coucher, car tu pouvais rejoindre Yat-Kha, Enki-Ea et Marshmallow pour la fameuse session dodo, tous les 4 blottis les uns contre les autres.

 

Tous ces moments me manquent terriblement, et, tout comme il a fallu que j'aille piano piano avec toi, je n'ai pu écrire ce texte que piano piano, tant la tristesse de ton départ soudain et rapide est profonde.

Je ne t'aurai côtoyé que trop brièvement, mais telle une étoile filante, tu continues de briller en nos coeurs.

 

Merci de nous avoir laisser entrer dans ta vie et de nous avoir permis de partager ces moments avec toi.

 

"Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis", et où que tu sois, je sais que toi et Yat-Kha continuez à vous blottir l'un contre l'autre, comme vous le faisiez chaque nuit parmi nous. »

 

Mick

 

Désiré

 

"Mon Dédé, Désiré,

 

Tu n’avais que 7 ans et tu es parti prématurément. Je n’étais pas préparée à cette issue fatale. Je réalise enfin en te rendant un dernier hommage. 

 

Ton prénom, je l’ai choisi car il a fallu un mois pour te capter. Tu as été jeté dehors non stérilisé dans un quartier où les chats n’étaient pas les bienvenus, où il a fallu que tu te défendes pour manger.

 

 

Chaton roux tout mignon, tu as fait partie d’une famille qui t’a laissé dehors une fois adulte, jusqu’au jour où une personne bienveillante nous a signalé ta détresse.

 

Tu as rejoint ma famille en mai 2017 où tu avais trouvé ta place très vite car tu étais un chat adorable, facile, toujours de bonne humeur. Tu trouvais toujours des endroits insolites pour dormir mais ta place préférée était près de moi le soir.

 

Tes soucis de santé ont duré quatre ans et nous allions régulièrement chez Brigitte, qui arrivait toujours  à te soulager. Tu remontais la pente à chaque fois mais depuis janvier, ton organisme était fatigué et tu as lutté comme tu as pu. Tu acceptais les traitements, les voyages en caisse de transport où parfois tu faisais la tête à ton Docteur préféré, mais une fois de retour à la maison, ragaillardi, ton objectif était de manger.

 

Ton cœur s’est arrêté le 11 avril 2022. Nous n’étions pas prêtes à te voir partir et avons beaucoup de mal à accepter ce départ. A présent, un grand vide s’est installé à la maison. C’est injuste de partir si vite, tu étais jeune.

 

Tu auras profité de cette courte vie entouré d’amour et de soins. Tu avais ta place dans ma famille et je suis dévastée par ton départ, car encore une fois, tu as payé l’irresponsabilité et la cruauté des gens qui prennent des chats puis s’en débarrassent, en pensant avec absurdité qu’ils pourront se débrouiller seuls dans la nature, en ville !!!

 

Ta présence, ton harcèlement lorsque tu avais faim ou que tu voulais des caresses me manquent, et tu manqueras aussi à ton vétérinaire, qui avait tissé un lien très particulier avec toi, mon petit Dédé.

 

Tu reposeras auprès de tes copains qui sont partis et resteras présent dans nos souvenirs et dans nos cœurs. T’avoir eu près de moi m’a comblée. Tu vas me manquer mais tu es toujours là quelque part dans un monde meilleur que le nôtre. Le combat continue, mon Dédé, tu veilles sur tes camarades d’infortune qui galèrent dehors… 

 

Je suis retournée à la clinique où tu étais toujours super bien accueilli par Carole, Sabine, Isaac, Brigitte et nous avons parlé de toi avec tendresse et tristesse, mais nous ne garderons que des bons souvenirs avec toi, mon si gentil et courageux Désiré. 

Je t’aime, tu me manques, mon Dédé."

 

Clotilde 

 

Brennus

 

"Mon Petit Brennus,

Tu es arrivé chez moi le 2 janvier 2022, de Plouvorn, dans un état déplorable, avec une énorme plaie à l’oreille, déshydraté, affamé, douloureux, tenant à peine debout.

 

Merci à ta bonne fée Laurianne qui t’a signalé sur les réseaux sociaux afin que l’on te vienne en aide, puisque tu avais des propriétaires qui t’ont laissé dépérir dehors, révoltant !!!

 

Ton combat pour la guérison a été de courte durée. Tu as reçu tous les soins nécessaires, beaucoup d’amour et tu as su apprécier le confort d’un plaid, de la nourriture à volonté, des caresses et la tranquillité dont tu avais besoin pour te reconstruire.

 

Brennus, tu es un exemple de courage et de gentillesse, car jamais tu n’as montré le moindre signe de colère lors des soins. Tu as toujours accepté de prendre tes traitements et de te laisser faire car tu avais confiance et que tu étais enfin à l’abri. 

 

Cette convalescence n’aura pas duré longtemps car ton organisme était trop fatigué pour combattre toutes ces  pathologies ignorées par tes indignes maîtres. Tu avais 14 ans et tu as lutté jusqu’au bout, mais tu étais arrivé au bout du chemin, ne t’alimentant plus, inconfortable. Tu t’es endormi au chaud, ta tête posée dans ma main. J’ai espéré que ta dernière hospitalisation te redonnerait un peu de vitalité mais c’était trop difficile de te voir souffrir. Tu nous as fait comprendre qu’il était temps de partir et le vétérinaire t’a endormi le 18 février 2022. 

 

Tu laisses un grand vide dans mon Cœur mais j’ai été heureuse de te rencontrer. Je savais que tu étais âgé et mal en point, mais j’espérais que nous partagerions plus de temps ensemble. Tu étais tellement gentil et reconnaissant, frottant ta tête contre ma main, et ton regard était si doux. 

 

Tu as rejoint un monde meilleur que le nôtre car hélas ton histoire n’est pas isolée. Tant de souffrance animale causée par la cruauté humaine ! Mais tu es parti au chaud et tu reposeras près de nous. C’était le dernier geste d’Amour que je pouvais te donner. Tu ne seras pas seul, tu reposeras auprès de mes autres compagnons car tu fais partie de ma grande famille.

 

Au revoir Brennus, merci pour ton courage, ta gentillesse, ta reconnaissance. Je ne t’oublierai jamais, tu resteras dans mon Cœur, je t’aime.

 

Je tiens à remercier tous les généreux donateurs qui ont permis de participer aux nombreux soins de  Brennus."

 

Clotilde

 

 

Georges, mascotte de l'association, nous a quittés...

 

"Nous nous sommes croisés il y a quelques années au CHU de Brest, où tu vivais avec d’autres chats.

 

Tu étais le chef de la bande, tu te baladais partout entre les pôles et parfois dans les couloirs le soir quand tout était calme.

 

Tu reconnaissais ma voix quand je t’appelais. Tu partageais ton repas avec tes compagnes et compagnons, tu avais ta niche où tu t’abritais par mauvais temps, mais tu étais toujours là, ne te laissant pas approcher mais tu reconnaissais ma voix et tu n’étais jamais loin lors de la distribution des repas.

 

Comment pourrais-je t’oublier, Georges mon ami ? Je t'ai toujours promis qu’un jour tu serais au chaud à la maison quand le moment serait venu.

 

Et en février 2021, fatigué, vieillissant, tu as enfin décidé de te laisser attraper pour rejoindre ma famille de cœur. 

Mon petit Georges, tu t’es très vite habitué à la vie en maison. Très discret, tu as su trouver ta place parmi tes congénères sans jamais t’imposer, tu n'étais jamais loin de moi.

 

Tu as apprécié le confort, la chaleur du foyer, te blottissant contre moi la nuit. Tu vivais une retraite bien méritée, mais hélas, tu étais fragile. La maladie rénale s’est installée, malgré les traitements et les nombreuses consultations chez Brigitte, où tu as été très courageux.

 

Le 15 février 2022 est venu le moment de te dire au revoir pour te laisser partir en paix, en douceur près de nous. Tu n’auras pas vécu assez longtemps auprès de moi ; les miracles n’existent pas pour certaines pathologies.

 

Tu me manques déjà car nous avions un lien particulier. Tu étais un chat extraordinaire, doux, gentil et tellement reconnaissant. Tu as eu la liberté que tu voulais avoir et un jour, tu as décidé de prendre ta retraite chez moi et nous avons passé des moments de complicité et d’amour. Je n’oublierai jamais le jour où enfin, tu étais auprès de moi, en sécurité. J'étais si soulagée de t'avoir près de moi.

 

Tu resteras dans les mémoires de beaucoup de personnes.

 

Mon petit Georges que j’aimais tant, tu as rejoint tes congénères au Paradis des chats et chaque jour j’aurai une pensée pour toi en allant travailler. Tu es toujours auprès de moi, tu resteras toujours notre Mascotte.

 

Merci à Brigitte qui t’a soigné. Tu avais assez lutté et la dernière preuve d’Amour que l’on pouvait te donner, c’était de te permettre de t’endormir en sérénité. Le combat avait assez duré et malgré ma tristesse, je sais, le cœur gros, que tu es en paix. Les derniers jours auront été éprouvants pour toi, mon chat si courageux, tu as tiré ta révérence.

 

Au revoir mon beau et doux Georges, je t’aime."

 

Clotilde

 

Roméo (3)  

 

Récupéré très mal en point, il avait été opéré en urgence pour un abcès à l’épaule, qui a mis du temps à guérir et a même nécessité une seconde opération. A la fois diabétique et porteur du FIV, il n'a pas eu de chance côté santé... 

 

Frédéric, sa dernière famille d'accueil, lui rend hommage : 

 

"Né en 2010, tu as été recueilli très affaibli, après des années d’errance. Lorsque Cathy t'a hébergé en urgence, l’humain ne faisait pas partie des personnes de confiance.

 

Tu as payé le lourd tribut des chats errants et pour toi, le verdict était sans appel : non seulement le test du FIV s'est révélé positif, mais en plus, des examens complémentaires ont mis à jour un diabète, qui amplifiait ta fragilité.

 

Tu as alors rejoint Juliette, qui a pris soin de toi et t’a donné tellement d’attention que tu as renoué avec nous.

 

Enfin, tu es arrivé chez moi au printemps 2020, où tu as croisé d’autres chats, eux aussi sortis de la misère : tu les as tous acceptés et même aidés dans leurs craintes. Tu m’as même suivi en vacances pour que je puisse assurer la continuité de tes injections d'insuline.

 

Ton parcours s’est terminé cet automne, auprès de Pookie, avec qui tu dormais et qui t’a épaulé jusqu’au bout. Tous les deux dans le même panier, vous étiez tels un père et sa fille d’adoption.

 

Tu resteras ce chat brut de pomme et sensible à la fois, qui était devenu câlin avec moi et très proche de ses congénères. Tu as compris que nous n’étions pas tous insensibles !

 

Un grand merci à la clinique Branda, au Dr Vinet et aux aides soignantes, particulièrement Aléanor, qui te connaissait bien, ainsi qu'à tes deux marraines, Anne et Sophie, pour leur soutien. 

 

Tu resteras dans notre mémoire."

 

 

Albus n’a pas pu être sauvé…

Nous lui rendons hommage.

 

Il était une fois… au Relecq-Kerhuon, toi, Albus, 

Chat des rues, chat ignoré, chat âgé, 

Chat FIV, chat rejeté.

 

Nous avons croisé ton regard,

Avons senti ton désespoir,

Mais nous voulions y croire.

 

Tu t’es battu jusqu’au bout,

Posé dans ta caisse sur mes genoux,

Tu dodelinais de la tête en tendant le cou.

 

En arrivant à Brest, désorienté, exténué,

Tes forces t’ont abandonné

Et nous avons pleuré, pleuré…

 

A présent, il nous faut sécher nos larmes

Et tirer à nouveau le signal d’alarme.

Oui, on va en faire du vacarme !

 

Combien de fois devrons-nous le répéter ?

Protégez vos chats, stérilisez les, identifiez les !

Soyez attentifs car ils risquent leur vie dehors : maladies, empoisonnements, bagarres, accidents...

 

Albus n'a pas eu cette chance, dans sa vie de misère. 

Quelqu'un de bienveillant et d'attentif pour veiller sur lui...

 

Merci à la personne qui a eu pitié de lui alors qu’il dépérissait sur le bord d’une route.

Merci de n’avoir pas fermé les yeux et de l’avoir déposé en clinique.

 

Merci Brigitte d'avoir été présente pour ses derniers instants.

Merci Valérie pour ton soutien et ton don pour sa prise en charge.

 

Gentil Albus, tu resteras toujours dans nos coeurs.

Tes cendres seront dispersées sous un hortensia 

Qui fleurira pour toi et nous rappellera 

Pourquoi il faut continuer le combat.

 

Mister Cat 

 

Né le 01/01/2012, Mister Cat avait été recueilli très affaibli après des semaines d’errance. Il était atteint d'une insuffisance rénale qui a longtemps pu être régulée, jusqu'à ce matin de mai 2021...

 

Cathy et sa famille, qui le chérissaient, lui dédient ces quelques mots :

 

« Notre petit Mister Cat, ton chemin t'a conduit jusqu'à nous il y a un an... Nous avions récupéré Roméo qui est parti en convalescence chez une amie de l'association... et trois jours après tu arrivais... 

 

Tu avais été signalé à Landerneau comme étant une chatte d’un an, amaigrie. 

 

Finalement tu étais un chat d'environ 8 ans...malade... ronchon... abîmé de la vie.

 

Nous avons récupéré ton baluchon cabossé, t'avons soigné, chouchouté, aimé.

Nous t'avons donné tout l'amour que tu méritais. 

Tu t'es battu, accroché à la vie et à cette douceur qu'on pouvait t'apporter.

 

Entre nous, on t'appelait Chonchon... un mélange de Chouchou et Ronchon.

Tu étais tellement attachant.

Tu nous as laissé t'aimer et tu as compris qu'on ne voulait que ton bonheur !

 

Nous sommes bouleversés et chamboulés. Ton chemin sur terre s'est arrêté ce matin.

Tu étais arrivé au bout, après un an paisible auprès de nous... 

Tu t'es endormi dans nos bras de maman et papa de coeur, sous les yeux bienveillants de notre vétérinaire, qui a toujours fait ce qu'elle pouvait pour te soigner lors de tes rechutes.

 

Nous t'aimons, tu es en paix, tu ne souffres plus...

Nous quatre, ta famille de coeur, et ton frère chat de coeur, nous ne t'oublierons jamais.

Ta présence a marqué nos coeurs et ta force nous accompagnera.

Merci aux Chats du Coeur de nous avoir permis de vivre cette belle histoire de coeur avec notre petit Chonchon. »

 

Cosy

 

Pris en charge après avoir été signalé errant à Brest, Cosy a déclaré une pancréatite et son état de santé s’est dégradé très vite.

 

Aurélie, sa famille d’accueil, qui l’a accompagné dans ses derniers moments, lui a écrit quelques mots pour lui dire au revoir :

 

"Cosy, mon petit bonhomme, tu t’en es allé lundi 1er mars, à bout... Epuisé par la souffrance qui te tenaillait depuis quelques jours.

Ces quelques semaines passées avec toi ne furent que du bonheur. Tu nous as témoigné ton affection et ta reconnaissance en nous donnant des câlins sans compter.

Un bel avenir s’ouvrait à toi, tu avais repris des forces, recommencé à jouer, et tu te baladais dans tout l’appartement où les autres chats te respectaient.

Tu étais discret, jamais tu ne t’imposais. Par ta douceur et ton grand coeur, tu avais conquis toute la famille.

Je remercie le Dr Leblanc et ses assistantes vétérinaires qui ont pris soin de toi jusqu’à la fin. Tu t’es battu jusqu’au bout, oui, ne lâchant rien !

Mes derniers adieux avant de te laisser partir pour un monde où la souffrance n’existe pas furent très durs mais c’est aussi la plus belle preuve d’amour.

Mon p’tit bonhomme, tu laisses un grand vide derrière toi, tu resteras dans notre coeur, nous ne t’oublierons pas."

 


Archie 

 

Archie n'a pas eu de chance.

 

Signalé par une personne qui le nourrissait depuis 3 ans, il a dépéri dehors au fil des années. Nous l'avons récupéré affaibli le mardi 2 mars 2021 et l’avons fait hospitaliser en urgence le 3.

Une pathologie cardiaque, non soignée, a provoqué un oedème pulmonaire, qui l’a emporté rapidement, sans qu’il soit possible de le sauver.

 

Nous avons juste eu le temps de lui donner un nom, un abri et quelques caresses, avant que la maladie ne l'emporte. Notre petit Archie est passé comme une étoile filante.

 

Malgré la brièveté de son séjour, il laisse un vide dans le coeur de Sophie, sa famille d'accueil.

 

Il méritait bien mieux que cette vie d'errance ! 

 

 

 


Wallou

 

Né le 08/04/2002, Wallou était un pépère tranquille en famille d'accueil de longue durée.

Il avait été pris en charge par l'association après s'être retrouvé dehors, rejeté par sa famille en raison d'un début d'insuffisance rénale. 

 

C'était un adorable chat, sociable avec les autres chats de la maison, gros dormeur, petit mangeur et qui adorait se dorer la pilule au soleil derrière une vitre. 

Il est décédé le 4 février 2021 à l'âge de 18 ans.

 

Clotilde, sa FA, lui adresse ces quelques mots pour lui dire au revoir :

 

"Mon Wallou,

Tu reposes auprès d’Arsène depuis jeudi 4 février. Tu étais au bout du rouleau.

Ma dernière preuve d’amour : être auprès de toi pour ton grand voyage, vers ce lieu où tu ne souffres plus et où tu es en paix à présent.

Je remercie les vétérinaires, Sandrine et Charlotte, qui te voyaient toutes les semaines pour ton hydratation et te gâtaient d’une bonne pâtée pour te tranquilliser au moment du soin. Ta santé était fragile, tu avais 18 ans, nous ne pouvions pas faire de miracle…

Tu as passé quatre ans auprès de nous, où tu as été aimé. Tu avais trouvé ta place parmi tes compagnons, sortis de la misère de la rue. Tu as vécu ces quelques années en harmonie, car tu étais un senior tranquille, un chat avec un caractère facile.

Tu aimais avoir un compagnon pour te réchauffer : Désiré, avec qui tu partageais ton panier et tes repas, aura été ton grand copain !

Tu laisses un grand vide dans notre foyer, car tu savais te faire comprendre quand tu voulais manger, faire ton tour dans le jardin, avoir des grattouilles et piquer sans vergogne la place dans un panier pour t’y installer. Tous les autres chats te respectaient car jamais tu n’as montré d’agressivité. Tu étais le papi de la maison.

Au revoir mon cher Wallou, tu as été heureux chez nous et te voilà en paix à présent. Tu resteras dans mon cœur et dans mes pensées."

 


Arsène

 

Né en 2010, compagnon de galère de Sushie et de Dana, Arsène a payé durement son abandon et sa vie d’errance puisqu'il est a contracté le FIV dans la rue.

 

Récupéré malade, très maigre, couvert d'anciennes plaies, il n'était que misère. 

 

Dans sa famille d’accueil, il s’est révélé être un amour de chat au regard penaud, qui en disait long sur son passé. Il ne gardait pas de rancune envers l'humain. 

 

Devenu presque qu’aveugle, il a déclaré un diabète et sa santé s’est progressivement dégradée après une première stabilisation.

 

 

Clotilde nous parle avec émotion de son doux compagnon, qui s’est éteint début 2021 :

 

« Arsène, la force tranquille, tu as passé quatre ans auprès de nous, où tu as été heureux et choyé. 

Malgré ta cécité, tu évoluais parmi nous, toujours à la recherche de câlins, toujours à donner des coups de tête. 

Tu savais exprimer ton amour au quotidien et nous devinions ton éternelle reconnaissance pour t’avoir sorti de la rue.

Tu laisses un grand vide dans la maison : ton miaulement caractéristique, ta douceur, ta tranquillité, ta place tout près de moi la nuit, où je recevais tes coups de tête et où tu bavais de contentement !

Ton ancienne vie dehors, une vie d’errance, t’avait bien abîmé. Tu avais un super vétérinaire qui prenait soin de toi mais ta santé fragile n’a pas laissé place à une vie plus longue.

Tu t’es endormi sereinement le 22 janvier, après avoir lutté pendant cinq jours contre une infection généralisée, le diabète empêchant de combattre efficacement l’infection.

Au revoir mon petit Arsène, je t’aime et je ne t’oublierai jamais. »

 

 


Roxane

 

Mise à l'abri en août 2020 et adoptée par sa sauveuse, cette jolie chatonne grise a malheureusement déclaré une PIF en fin d'année.

 

Cette adorable petite avait seulement 6 mois...

 

C'est une douloureuse épreuve pour son adoptante.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Garfield

 

Garfield a été récupéré très mal en point à Plouédern au printemps 2020, suite à un SOS.

 

Son état de santé était très dégradé et il n'a malheureusement pas remonté la pente.

 

Nous sommes vraiment très tristes pour lui qui a dépéri dehors - où il était néanmoins nourri - avant d'être pris en charge in extremis mais finalement trop tard...


Prince

 

Prince avait été récupéré en urgence, squelettique et affaibli, et avait été mis sous perfusion, car il présentait un épanchement pleural. Le vétérinaire avait également découvert un diabète nécessitant un traitement à vie. Il n'aurait pas survécu plus longtemps dehors. Chouchou de la clinique, il avait retrouvé de la vitalité. 

 

Sa famille d'accueil nous le décrivait ainsi :

"Mon papy diabétique est un père tranquille mais pas indifférent : il aime voir ce qui se passe et participer à la vie de la maison... Il apprécie particulièrement le plan de travail de la cuisine, d'où il peut observer ce qui se passe et être en première position au moment de la distribution du repas. Il "parle" volontiers, il est parfois râleur quand on le déplace, mais il ne griffe jamais.

Plutôt chat d'intérieur, il apprécie son petit tour dans le jardin mais ne s'éloigne pas. L'accès à l'extérieur n'est toutefois pas obligatoire pour son bonheur. Il est Ok chiens et chats.

Côté santé, il a dépassé les 5.260 kg, est bien stabilisé et ne nécessite qu'une injection d'insuline matin et soir.

Bref, un papy facile à vivre et attachant avec sa bouille tristounette."

 

C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris son fin décembre 2020, d'une défaillance rénale et hépatique. Nous pensons à sa famille d'adoption qui l'adorait et son ancienne famille d'accueil.

 

 


Kasei

 

Nous avons malheureusement appris le décès de Kasei, chaton de Moon, rebaptisé Grisou. Adopté avec sa soeur Shito l’année dernière, il a été écrasé par une voiture lors d’une de ses sorties. Nous avons beaucoup de peine pour ce petit bonhomme, qui manque à sa soeur et à sa famille…

Grisou

 

Grisou a été prise en charge par l'association à l'aube de ses 15 ans (âge estimé d'après les dires des riverains qui la nourrissaient), après avoir vécu toute sa vie en bas d'un immeuble, nourrie par les uns et par les autres.

Minette usée par la vie, Grisou souffrait d'un coryza chronique qui lui a valu de fréquentes visites chez le vétérinaire.

 

Cette minette douce, calme et discrète était heureuse d'être enfin à l'abri, en sécurité, de bénéficier de coussins, de gamelles à volonté, et bien sûr de câlins.

 

Son état de santé s'étant brusquement aggravé, et, étant en détresse respiratoire, Grisou a été emmenée en urgence chez le vétérinaire.

Après que la radio a révélé une énorme tumeur pulmonaire, il a été décidé d'endormir notre mamie afin de lui épargner davantage de souffrances.

 

Le départ de notre gentille Grisou a laissé un grand vide ainsi que le chagrin de n'avoir pas eu le temps de lui offrir plus que quelques semaines de bonheur.

 


Delicate, adorable minette  

 

Cette petite minette British Shorthair née le 28 mai 2008 nous avait été confiée avec Idylle après le décès de leur propriétaire, car elles risquaient toutes deux l'euthanasie.

 

Sa famille d'accueil nous la décrivait ainsi : "Elle n'est pas timide et vient facilement vers les gens. Elle aime les câlins et recevoir de l'attention. Elle a aussi besoin de calme et quand elle n'est pas contente, elle le faire savoir.  En un mot : adorable !"

 

Cette adorable chatte a eu la chance d'être adoptée et avait trouvé le bonheur auprès de sa famille de coeur. En octobre 2020, nous avons appris, avec beaucoup de tristesse, son décès d'une défaillance rénale. Avec sa bouille inoubliable, elle restera bien sûr dans nos coeurs.

 


Mowgli, alias Tilulu

 

Nous avons perdu l'adorable Mowgli, dont le petit coeur s'est arrêté pour une raison inexpliquée le 19 septembre 2020. Il avait seulement un an et demi.

Une semaine auparavant, il s'était faufilé hors de l'appartement où il se trouvait en FA mais avait été rapidement retrouvé. Nous étions soulagés et devions le proposer à l'adoption. La vie en a décidé autrement. Le vendredi 19 septembre, sa famille d'accueil l'a retrouvé inanimé : son petit coeur avait cessé de battre. 

Nous sommes dévastés, de même que la personne qui le nourrissait dehors et nous l'avait confié pour lui offrir un meilleur avenir.

Parce qu'il était jeune et qu'on n'imagine pas que ça puisse arriver, notre petit Mowgli - "Tilulu" - laisse derrière lui un vide immense et des questions sans réponses...


Plume  

 

Née le 01/01/2014, Plume avait été récupérée en urgence, cachexique, déshydratée et infestée de vers. Très abîmée par la vie, elle ne tenait plus sur ses pattes...

 

C’était une petite chatte exceptionnelle, adorable et câline avec les humains, réclamant sans cesse à être sur les genoux ou dans les bras…

 

Elle n’était pas toujours commode avec les autres chats ! Plumette avait ses têtes et la patte leste pour celles qui ne lui revenaient pas. Bref, une petite bonne femme avec un sacré caractère, mais tellement attachante.

 

Des qualités, elle en avait, mais elle n’a pas eu la chance de tomber sur les bonnes personnes dans les premières années de sa vie. Un jour, elle été retrouvée errante et dans un piètre état. Une vie de misère, qui a eu raison de sa santé : lorsqu’elle a été prise en charge par notre association, elle souffrait d’une insuffisance rénale grave. 

 

Sur le fil du rasoir, telle un petit funambule qui se maintient en équilibre, elle a pu mener une vie presque normale pendant un an. Elle a été choyée et aimée comme elle le méritait par sa famille d’accueil.

 

Malheureusement, en juillet 2020, une infection qui couvait depuis quelques jours, de manière insidieuse, s’est brutalement déclarée. Malgré des soins et une intervention chirurgicale réalisée en urgence, Plume, trop affaiblie par sa santé fragile, n’a pas survécu. Elle s’est éteinte deux jours plus tard, laissant derrière elle un vide immense.

 

Nous pensons très fort à Sophie, sa famille d’accueil, et à Clémentine, sa marraine (qui est aussi la personne qui l'a sortie de la rue et nous l’a confiée). 

 

 


Epson

 

Recueillie extrêmement amaigrie début mars, cette pauvre chienne nous a quittés en mai 2020.
 

Elle semblait remonter la pente et avait repris goût à la vie dans sa nouvelle famille. Puis tout est allé très vite : elle a commencé à montrer des signes de fatigue, à avoir de la fièvre, et son coeur a lâché, peut-être ses reins, avant qu’un bilan complet n'ait pu être réalisé…

Elle a connu des jours heureux auprès de son adoptante, qui n’a pas démérité pour la sauver. Parfois la vie en décide autrement…

 

 

Oslo

 

Oslo a été capté suite à un signalement, alors qu'il boitait. L'examen a révélé un abcès à la patte, pour lequel il reçoit un traitement. Sa vie à l'extérieur a fait de lui un chat bagarreur. Il a été testé négatif au FIV et à la leucose, mais compte tenu de sa vie de matou des rues, nous le ferons retester dans deux mois par précaution. Ce chat de deux ans nécessite un travail de sociabilisation car il a perdu confiance en l'humain.

 

Il est malheureusement décédé au cours de l’anesthésie qui devait permettre de soigner son abcès. C’était un jeune minou de bonne constitution, nous ne comprenons pas ce qui s’est passé (même si nous savons que le risque zéro n’existe pas…). 

 

 

 

 

 

 

 


Finnegan

 

Finnegan a été abandonné par son propriétaire qui a déménagé. C'est tellement plus commode de laisser derrière soi un chat dont on ne veut plus !

 

Devenu un chat des rues, comme on les appelle, il a été nourri dehors pendant 13 ans. 

 

Lorsque son état s'est fortement dégradé, en juin 2020, sa nourrisseuse a fait appel à nous.

 

Malheureusement, il a dû être "endormi" le 9 juin, jour de son captage.  

 

 

 

Voici le compte rendu du vétérinaire : "abcès de la joue gauche, souffle cardiaque de grade 2 plus marqué à gauche associé à une difficulté respiratoire, un épistaxis bilatéral, une augmentation bilatérale des reins, un épanchement abdominal marqué. Les causes les plus probables de l'épanchement abdominal sont : cardiaque, tumoral, FIV/FELV."

 

Gwladys, qui l'a accompagné dans ses derniers moments, nous parle un peu lui ici.

Noël

 

Noël, sous protection de l'association depuis 2017, nous a malheureusement quittés début janvier 2020. 

Il avait été récupéré, comme son nom l'indique, à Noël 2016, avant son euthanasie arbitraire par une mairie... La vie en cadeau, disions-nous.

Ce beau chat FIV+ à la santé précaire avait été adopté par sa famille d'accueil, où il coulait des jours heureux avec ses copains et copines.

C''était un chat absolument adorable.

Nous sommes très tristes pour lui et pour son adoptante.

 

Candy, la câline

 

Née le 10/09/2019, cette adorable petite fille a été trouvée dans l'herbe avec un gros coriza, à peine en meilleure forme que son frère Lutty et toute grise comme lui.

 

"Un mot de Nathalie, sa famille d'accueil :

Elle est très douce et câline, un peu timide. Dès qu'elle est en confiance, elle s'installe sur les genoux ou les épaules. 

Comme elle n'aime pas beaucoup les croquettes, elle fait partie des "privilégiés" qui ont des petites pâtées aux repas..."

 

Notre adorable petite Candy est malheureusement décédée d'un épanchement aux poumons dimanche 2 février 2020.  

La vétérinaire a fait son possible pour la sauver. Les chatons restent fragiles, malgré tous les soins apportés.

Un moment très difficile pour sa famille d'accueil qui a bien conscience de la vie précaire des chatons à l'extérieur et donne le meilleur d'elle-même pour essayer de les sauver et leur permettre de grandir à l'abri et en bonne santé.


Peanuts

 

Né le 05/08/2019, il a été trouvé au milieu de la route devant un groupe d'immeubles, avec son frère et sa soeur, Peewy et Poppy. Trois chatons aveuglés par le coryza, pesant 250, 350 et 400 grammes...

 

Nathalie, sa famille d'accueil, nous en dit quelques mots : 

"Peanuts, la cacahuète, tout juste 250g... J'ai plus d'une fois eu peur de le trouver mort le matin...

Il est arrivé avec un gros soucis aux pattes arrières. Il n'arrivait pas à marcher et rampait.

Il est atteint de microphtalmie ; ses tout petits yeux ont souffert du coriza.

Mais alors, c'est un petit ange ! Gentil, doux et affectueux !

Ses petites pattes arrières se sont bien renforcées et lui permettent de se déplacer sans problème. En l'observant, on remarque tout de suite qu'il a une démarche particulière.

Malgré tout cela, c'est un amour. Hyper câlin. Il adore les épaules et on peut se déplacer avec lui. 

Bien qu'à la maison il y ait des chatons magnifiques, c'est vers lui que ma petite fille de 7 ans est immédiatement allée, l'a pris dans ses bras et a demandé à ma fille "maman,  on peut le prendre avec nous ?" 

Le miracle des petits enfants qui voient avec le coeur..."

 

Notre petit Peanuts est malheureusement décédé vendredi 24 janvier.

Nous sommes très tristes pour lui et sa famille d'accueil...

Il avait surmonté diverses épreuves grâce aux bons soins de Nathalie, qui est très affectée par son décès et lui dédie ces quelques mots :

 

"Ma petite cacahuète,

J'espère qu'il y a un paradis pour les chats. S'il existe, tu y es déjà avec deux magnifiques ailes.

Tu étais si petit, si faible quand tu es arrivé à la maison... J'avais peur de te trouver mort le matin. Mais non, tu t'es battu, tes petites pattes se sont fortifiées, le coriza est passé. On avait pu te faire vacciner. 

Je pensais vraiment que c'était gagné. Mais non.

Tu étais tout petit, mais notre chagrin est immense. C'est fou le vide qu'un aussi petit chat peut laisser... Mais Coquillette et Feezy seront près de toi.

Pas un jour sans que je ne pense à vous..."

Peanuts


Martin

 

Martin  vivait dehors avant qu'une dame ne l'amène dans une clinique vétérinaire en décembre 2019. Contactés par cette clinique, nous avons accepté de le prendre en charge. Malheureusement, il est décédé avant de rejoindre l'association.

 

La clinique nous a écrit : "Martin nous a été déposé à la clinique par une cliente qui le voyait dans son jardin depuis environ une semaine. Elle le trouvait très amaigri et pas en forme. Il était à la clinique depuis le 18 décembre. Il était parasité et avait la diarrhée et n'était pas castré. Il avait entre un et deux ans. Le jour de la prise en charge, on lui a fait une échographie abdominale, on lui a donné un vermifuge et mis une pipette anti puce, donné un médicament contre la diarrhée et on l'a testé pour le FIV et le FeLV. Il s'est révéler positif au FIV. Le virus était déjà actif, il était déjà anémié et démusclé. Il mangeait bien jusqu'à son problème au niveau du croc qui était infecté. On a dû l'endormir pour le lui retirer et profiter de l'anesthésie pour le castrer. C'était un chat très câlin qui aurait dû avoir une belle vie."

 

Gwladys lui rend hommage ici.


Minette

 

Minette, que nous avions prise en charge en urgence, n'a malheureusement pas survécu. Elle a succombé à une insuffisance rénale aiguë dans la nuit le 5 septembre 2019.

Nous en sommes très attristés, nous aurions tellement voulu la sauver et lui offrir enfin une vie au calme et au chaud !

 

Tout ce temps passé dehors, nourrie par une "bonne âme", avait considérablement dégradé sa santé, non seulement son oeil (elle a dû être énucléée) mais également ses reins.

 

Comment peut-on laisser dépérir ainsi un animal que l'on nourrit ? Minette était quasiment aveugle, déshydratée et gestante lorsque nous l'avons recueillie. A notre tristesse s'ajoute la colère...

Minette


Gaspard (1)

 

Nous avons appris le décès de Gaspard, notre beau roi mage, fils de Milady, qui a malheureusement été renversé par une voiture en juillet 2019.

C'est une terrible nouvelle pour l'association et pour son adoptante...


Maou  

 

Maou, notre petite mamie, avait échappé à l'euthanasie avec sa fille Kiki. Recueillies par Les Chats du Coeur Brestois, elles formaient toutes les deux un inséparable duo.

 

Atteinte d'une tumeur à la bouche, Maou nous a malheureusement quittés le 2 juillet 2019, à l'âge de 17 ans.

 

Yvette, qui l'accueillait avec sa fille, lui a dédié ces quelques mots touchants :

 

"Tu ne m’appartenais pas. Tu as su devenir mon amie avec calme et douceur. Tu as fais fuir ma solitude. Merci pour tous ces moments partagés. Je garde précieusement le bonheur que tu m’as offert. Je te garde une place dans mon coeur. Tes ronrons me manquent déjà."

 

Elle manquera aussi beaucoup à Kiki...

 

 

 


Nizar, petit loulou gris qui avait été adopté par sa famille d’accueil, s’est éteint le 2 mai 2019.

Porteur du FIV, il a payé de sa vie ses premières années passées dehors. 

Ses dernières prises de sang étaient satisfaisantes, puis son état s’est dégradé et tout est allé très vite… 

Il a au moins eu la chance d’être choyé par sa famille adoptive et de connaître un peu de bonheur.

Zazou, notre battante, qui avait enfin trouvé sa famille d’adoption et repris goût à la vie, a du être endormie le 4 avril 2019, probablement victime d’une tumeur au cerveau ou d’un AVC.

 

Son décès brutal est très éprouvant pour l’association et son adoptante, chez qui elle laisse un grand vide. 

 

Retrouvée errante et très affaiblie dans un quartier de Brest, elle avait été hospitalisée en urgence, car elle souffrait de déshydratation et de dénutrition. Elle était également infestée de puces et de parasites intestinaux.

 

Née le 5 mai 2013, testée positive au FIV mais négative à la leucose, elle avait repris des forces dans sa famille d'accueil avant de trouver sa famille définitive.

 

Zazou était une minette tranquille, très gentille, attendrissante et sans une once de méchanceté. Elle a bien apprécié la compagnie du lapin auprès duquel elle a passé quelques temps.

 

 

C'était un beau sauvetage pour cette jolie chatte qui avait repris goût à la vie. Hélas, la vie en a décidé autrement... Nous sommes très tristes pour elle et son adoptante.

 

La petite Osiris, adoptée en 2018, a malheureusement été renversée par une voiture le 1er avril 2019 et n’a pas survécu.

 

Nous sommes tellement tristes pour cette petite puce, qui allait tout juste avoir un an...

 

 

Elle avait été récupérée par Gwenaëlle au bord de la route, au pied d'un poteau électrique, avec sa maman Isis et ses frère et soeur Elvis et Naya.

 

Après deux années passées à l'abri, choyé par sa famille d'accueil, Félix, joli chat noir et blanc, nous a quittés le 1er mars 2019. Porteur du FIV, il était plus fragile et son état de santé s'est dégradé. 

 

Il restera dans le coeur d'Edith, qui l'avait recueilli alors qu'il était blessé et qui a pris grand soin de lui. Son départ laisse un grand vide...

 

 

 

 

 


Victime d'un abandon, Minet était nourri dans un jardin depuis l'été 2018. Il été recueilli par l'association le 14 janvier 2019, endormi le 15 février 2019.

 

Porteur de la leucose et du FIVil est resté un mois en famille d’accueil, chez Clovis, où il était chouchouté. Il était pris en charge à la clinique dès que son état de santé était jugé préoccupant.

 

Son état de santé très fragile s'est malheureusement dégradé. 


 

Il a été hospitalisé et malgré la morphine, Minet ne tenait plus sur ses postérieurs. Nous avons alors décidé, avec le vétérinaire, de l'endormir. Il est parti tranquillement, en douceur, sa famille d'accueil près de lui.

Il ne sera pas mort dehors dans des souffrances atroces et dans l'indifférence, car Minet aura été choyé par Clovis et toute l'équipe de la clinique vétérinaire qui a pris soin de lui durant ses hospitalisations.

 

 

 

Après de longs mois de soins pour une plaie béante à la nuque, Canaille nous a quittés le 8 janvier 2019, fatigué de lutter.

 

Merci à tous les donateurs qui ont participé à la prise en charge de ses soins.

 

Canaille a eu quelques mois de bienveillance, de soins et d'amour dans sa famille d’accueil.

 

Mr Felix est arrivé un matin devant chez nous, dénutri, déshydraté, épuisé.

Non stérilisé et non identifié bien sûr !!

Conduit en clinique d'urgence, il était agé de 4 ans au plus et a payé cher son abandon.

Il avait une masse au niveau de la vessie, certainement un lymphome qui avait flambé.

Testé négatif Fiv/Leucose, mis sous perfusion il n'a pas survécu et aura connu 2 jours d'attention à son chevet.

 

HONTE A CEUX QUI ABANDONNENT !!!

 

 

 

Rosalie, minette de 12 ans, a été récupérée à Plouzané le 12 novembre, avec une énorme plaie au ventre.

 

Elle était très affaiblie.

 

L'examen a mis en évidence une tumeur mammaire ouverte et infectée. Une intervention a consisté en l'ablation des tumeurs mammaires et utérines.

 

Malheureusement, Rosalie est décédée le 2 décembre 2018, trop épuisée par ces années d'errance.

 

Nous sommes toujours très attristés de ne pouvoir les sauver mais elle aura eu beaucoup d'attention, de confort, de tendresse et aura connu un peu de bonheur malgré tout.

 

 


Lulia, petite chatonne récupérée errante à la Penfeld avec une énorme infection à l'oeil, s'est endormie suite à son scanner le 06.10.2018.

 

Elle a été soignée, dorlotée dans sa famille d'accueil mais hélas son état se dégradant, un scanner s'imposait et elle est partie rejoindre ses compagnons d'infortune.

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Nous l'avons baptisée Étoile.

Cette jeune minette, chatte libre, vivant dans un quartier de Brest où nous avons été contactés en urgence suite à un appel d'une clinique vétérinaire pour aller récupérer cette petite chatte agonisante dehors. Malheureusement, Étoile a rendu son dernier souffle en arrivant à la Clinique et nous avons été très touchés par son départ car cette chatte était prostrée depuis la veille au soir, sur l'herbe où des gens sont passés, l'ont vue mais n'ont rien fait !!! C'est ignoble et très égoïste de laisser un chat agoniser toute une nuit dans l'herbe, sous la pluie et dans le froid ! On a toujours un peu de place pour accueillir un chat dont le pronostic vital est en jeu et de l'accompagner chez un vétérinaire.

 


Mignon, petit chat d'1,9 kg s'est éteint le 05.09.2018, son état de dénutrition était tellement alarmant qu'il n'a pas pu être sauvé, malgré des tests négatifs, un bilan sanguin normal, il s'est endormi en douceur, au chaud car hélas combien meurent chaque jour dehors dans l'indifférence ?

 

Papy chat s'est éteint le 30.08.2018.

Il avait été déposé en clinique dans un état très critique. C'était un chat libre, nourri par une dame, qui a appris que le chat avait été hospitalisé durant son absence.

Son état se dégradant, il a été endormi au bout de 5 jours, sa bienfaitrice auprès de lui, ainsi qu'une bénévole de l'association.

 

Grisou nous a quittés le 8 juin 2018

 

Grisou était nourri par une dame qui, alarmée par son état de santé l'a emmené chez le vétérinaire : œil crevé, abcès à la patte avec la peau à vif, de nombreuses plaies sur le corps ! Sa bienfaitrice a demandé la castration et le test de dépistage des virus du chat... Grisou est hélas testé positif pour le sida du chat (FIV) et pour la leucose.

Il avait été condamné à l'euthanasie par le vétérinaire mais cette dame n'a pas pu s'y résoudre. Grisou est dans sa famille d'accueil où il finira sa vie en paix, choyé, soigné !

 

Grisou était un matou extraordinaire et très courageux, il a subi des interventions mais a toujours repris des forces mais la leucose a été fatale pour ce pauvre chat qui a vécu tant d'années dehors dans l'indifférence.

Il laisse un grand vide dans sa famille d'accueil où il était pistonné car avait droit de dormir près de sa "maman". Il s'est endormi près d'elle. Il aura vécu heureux quelques mois.

 

Le 26 mai 2018, CHOUFFE a rejoint YAEGGER 

 

Il nous a quittés, renversé par une voiture.

Il a payé cher ce moment d'inattention de la part de sa nouvelle famille.

Nous sommes effondrés car c'est ce que nous redoutions le plus.

8 mois c'est l'adolescence et c'est la période des fugues !!!

Que son départ serve d'exemple et incite à redoubler de vigilance avec un jeune chien.

Sa famille d'accueil a reçu un grand choc suite à cette triste nouvelle.

Nous l'avons confié en toute confiance, donner tant de conseils de sécurité mais cela n'a pas suffit hélas.

 

Le 04/05/2018, YAEGGER nous a quittés

 

Un des huit chiots, YAEGGER a été emporté par une crise d'épilepsie.

Il laisse un énorme vide chez Morgane, Gaëtan et Jade, inconsolables face à cette injustice. Il a quitté leur vie mais pas leur coeur.

Désormais, Yaegger est au Paradis et il veille sur sa famille.

Sa famille d'accueil est aussi très affectée par ce départ brutal.

 

 

Une chatte très âgée, qui avait trouvé refuge dans la niche d'un chien et avait été déposée en urgence en clinique où elle avait été mise sous perfusion, car elle était en hypothermie, déshydratée et très affaiblie, est malheureusement décédée le 19.03.2018.

 

Rouxy, trop longtemps dehors nous a quittés le 14 mars 2018

 

Rouxy a été récupéré en octobre 2017 suite à un signalement d'une personne qui le voyait errer de jardins en jardins depuis DEUX ans!!!

Tu étais un  adorable chat et tu n'avais que 4 ans mais tu as été victime de l'indifférence , l'égoïsme des humains et tu attrapé la leucose.

Nous t'avons placé dans une famille d'accueil où tu auras été choyé et soigné durant ces quelques mois. Tu es parti trop vite, tu as rejoins tes compagnons d'infortune mais nous ne t'oublierons pas et tu laisses un grand vide dans ta famille d'accueil.

 

 

SCANDALEUX !!!

 

Un malheureux vieux chien trouvé abandonné et errant dans un tunnel de passage de route. Il se cognait sur les parois, désorienté et affolé.

 

Comment peut-on laisser un animal dans cet état ???

 

Merci à la personne qui l'a ramassé et conduit chez un vétérinaire.

 

Honte à celui ou celle qui a osé...

 

                                Il s'est éteint quelques jours après dans son panier.

 

Mamoune, le rescapé nous a quittés le 07.02.2018

"Mon petit Mamoune que nous avons récupéré en urgence dans un secteur de Brest, mal en point, fatigué par ces années d'errance, battu par des personnes qui ne voulaient pas de toi mais nous t'avons accueilli chez nous pour que tu puisses enfin avoir une existence heureuse. Nous t'avons choyé, soigné, tu avais repris confiance en l'humain. Ton absence laisse un grand vide chez nous car tu étais un chat d'une extrême douceur, toujours en quête de caresses et ton état s'est dégradé en dix jours d'une insuffisance rénale aiguë. Malgré l'hospitalisation, les perfusions, tu ne pouvais pas remonter.  Nous t'avons accompagné jusqu'au bout car il fallait t'endormir, dernière preuve d'amour que l'on pouvait t'offrir., tu avais déjà assez souffert dehors.

Tu nous manques mais tu resteras dans nos pensées et le jour où tu es rentré dans la trappe alors que nous venions pour récupérer un autre chat mais c'était écrit, il fallait que tu sortes de la rue".

 

Eugène

 

Eugène, 15 ans, a été récupéré en urgence car son état de santé nécessitait des soins.

Griffes incarnées, extraction dents, oeil crevé, gale d'oreilles, insuffisant rénal, porteur du virus FIV, arthrosique, papi Eugène est resté en soins chez le vétérinaire qui en a profité pour le tondre entièrement (bourres de poils+++), manucure, et il a regagné sa famille d'accueil pour couler des jours heureux.

 

12 novembre 2017.

Eugène de Recouvrance, mascotte de la clinique qui l'avait pris en charge pour ses soins, cet amour de chat a lui aussi payé cher sa vie errante.

Emmené d'urgence chez le vétérinaire de garde, affaibli par une infection qui a eu raison de son système rénal nous avons du endormir Eugène le 13/11 vers 2 h du matin.

 

Cramik

Fin septembre 2017, un SOS pet-alert où je tombe par hasard dessus ! Avec de la persévérance, nous avons pu te faire entrer dans la trappe et nous t'avons confié à une famille d'accueil en espérant que tu reprennes des forces, mais tu es parti quelques jours après Noé. Nous sommes aussi touchés par ce départ et nous espérions que tu remontes après les soins mais hélas l'errance dehors ne t'a pas fait de cadeau et tu étais épuisé. Repose en paix aussi petit chat."

 

Noé

 

Récupéré dans une cave, début octobre, en mauvais état général. En danger dans son quartier, il avait été mis à l'abri par sa nourrisseuse dans sa cave, le temps de le prendre en charge. Malheureusement à peine 3 semaines après, Noé a succombé à la maladie."Nous étions super heureux de te récupérer pour enfin te soigner et te donner beaucoup de tendresse mais hélas malgré ton courage, tu as rejoins les étoiles."

 


Nesquick

 

29 septembre 2017,  Nesquick emporté par une insuffisance rénale aiguë.

 

"Le jour où ont été prises les photos, tu te portais comme un charme, une véritable boule d'amour et deux jours après tu étais hospitalisé en urgence.

 

Tu manques à ta famille d'accueil chez qui tu étais le chouchou..."

 

A peine sauvé de l'abandon, la maladie l'a emporté...

 

Repose en paix petit cœur.


Dewey, notre petit coeur

 

9 septembre 2017 : Dewey, petit chaton d'à peine 3 mois, s'est éteint.

 

DEWEY est né le 30/05/17 et est décédé le 09/09/17 après à peine plus de 3 mois de vie... ou plutôt 3 mois de souffrance. Voici son histoire : 

A peine sevré, Dewey s'est retrouvé sur "le bon coin" sans avis vétérinaire, non identifié, grouillant de puces et infesté de vers. Il a été récupéré par une jeune fille qui, ne pouvant pas le garder, nous l'a confié...

 

ATTENTION AUX ANNONCES DE CHATONS GRATUITS !

Des gens peu scrupuleux les confient à peine sevrés et potentiellement malades...

 

Visite vétérinaire en urgence le 28/07/2017 : à peine 800 g !

Déparasité, il avait été placé en famille d'accueil pour reprendre du poids avant de commencer son parcours de soins. Malgré cela, une semaine plus tard Dewey tombe gravement malade. Il avait été hospitalisé plusieurs fois pour divers examens (testé négatif sida et leucose). Il est rentré pour la dernière fois à la clinique pour des examens bactériologiques, parasitologiques et sanguins (analyses complexes devant être expédiées sur Paris). Malgré les soins vétérinaires, il nous a quittés...

Repose en paix petit Dewey : "Mon petit coeur, j'ai tellement cru que tu allais t'en sortir, nous avons passé tellement de temps ensemble, la nuit tu miaulais et j'allais dormir près de toi. Ton départ a été une déchirure et tu me manques et je ne t'oublierai pas..." Le combat continue pour sauver d'autres minous comme toi et tu resteras dans le coeur de ta famille d'accueil où tu as été choyé par les ados qui t'aimaient beaucoup".

 

Kaouen

 

28 août 2017 : Kaouenn, mamie de 15 ans

 

Kaouenn avait trouvé une famille d'accueil le 17.10.2016 pour lui offrir un panier retraite bien mérité.  Merci du fond du cœur à cette dame au grand Cœur qui avait accepté de la soigner et de la chérir.

 

Son histoire est triste... Kaouenn attendait en box dans une clinique depuis décembre 2015 ! Elle avait été déposée dans un carton devant une clinique. Mamie avait besoin de prendre trois médicaments tous les jours !

 

Elle était très câline et avait encore beaucoup d'amour à donner à sa famille d'accueil chez qui elle était de nouveau heureuse. Kaouenn était une grosse gourmande et se déplaçait encore rapidement malgré son grand âge !

Sushie

 

27 juin 2017 : Sushie est partie rejoindre ses camarades après avoir lutté contre la maladie.

 

Abandonnée dehors suite à un déménagement, sans nourriture, sans soins, Sushie a contracté la leucose.

Elle aura eu quelques mois de soins entourée de douceur, mais la maladie a été plus forte...

Philomène

 

Le 03.05.2017, Philomène, le nom que nous avions donné à cette petite siamoise retrouvée rampant au milieu de la route, en hypothermie s'est endormie paisiblement. Malgré les soins, un diabète jamais soigné a fini par endommager les organes vitaux.

Philomène a eu un jour un propriétaire, s'est retrouvée dehors gravement malade et a succombé à sa pathologie non soignée. Elle repose en paix et aura eu quelques jours de douceur sous les caresses et les bons soins d'un vétérinaire au grand Coeur.

Praline

 

"Le 29.04.2017, Praline tu as rejoint tous tes compagnons d'infortune dans un monde meilleur.

Tu as été secourue le 21.10.2016 et soignée car ta vie dehors ne t'avait pas épargnée...

Nous t'avons comblée de caresses et tu nous l'as bien rendu par tes gros ronrons, tes coups de tête pour avoir des caresses, tes miaulements dès que nous franchissions la porte de ta chambre.

Tu nous manques beaucoup et nous aurions espéré que tu vives plus longtemps mais la maladie a été plus forte.

Tu resteras dans notre coeur et dans nos pensées et nous continuons notre combat pour accueillir des oubliés comme toi".

Grisminette a rejoint le Paradis Des Chats le 21 novembre 2016.

 

Déposée le 16 novembre à la Clinique dans un état préoccupant, elle s'est éteinte cinq jours plus tard, épuisée par ces 8 années d'errance dehors.

 

Elle aura vécu quelques jours au chaud, cajolée et soulagée par des antalgiques car sa bouche était couverte d'ulcères qui l'empêchaient de manger.

 

Nous pensions qu'elle allait reprendre des forces avant de lui faire un bilan de santé complet, mais voilà, Grisminette était trop faible et la maladie a été plus forte.

Merci à la personne qui a déposé Grisminette à la Clinique, alarmée par son état. Merci à la personne qui a accueilli Grisminette chez elle ces quelques jours. Au revoir petite minette, une étoile de plus dans le ciel...

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Sélène n'avait que 4 ans

et Orphée 1 an et demi.

 Des hommes les ont abandonnées,

 des hommes ont voulu les sauver...

 mais leurs moyens et leur patience

n'étaient pas à la hauteur de la tâche.

Elles n'auront pas connu la douceur,

la chaleur et la sécurité d'un foyer.

 

Elles ont été euthanasiées par un vétérinaire sans scrupules dans une clinique de Brest, sous prétexte qu'elles étaient en box depuis trop longtemps !

 

C'est scandaleux car elles ont été déposées en toute confiance par des personnes généreuses pour leur éviter la misère de la rue et elles finissent euthanasiées alors que nous venions de leur trouver une famille d'accueil !